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dc.contributor.authorBrown, Rolanden
dc.contributor.authorFaber, Mikeen
dc.contributor.authorSisulu, Maxen
dc.date.accessioned2016-02-25T11:47:02Z
dc.date.available2016-02-25T11:47:02Z
dc.date.issued01/01/1994en
dc.identifier.citationBrown, R., Faber, M. and Sisulu, M. (1994) POLICIES TOWARDS INWARD FOREIGN INVESTMENT. IDS Bulletin 25(1): 43-50en
dc.identifier.issn1759-5436en
dc.identifier.urihttps://opendocs.ids.ac.uk/opendocs/handle/20.500.12413/9356
dc.description.abstractSummary This article considers the policies which a democratic government of South Africa should adopt towards inward foreign investment and what instruments should be sued to give effect to those policies. The article notes the change in attitude towards foreign investment that has occurred in the past 30 years and a number of very special features which characterize South Africa's political economy. The approach proposed would essentially treat foreign investors on level terms (concerning rights and obligations) with domestic investors, save in two areas. First, it is recognized that there are aspiring Black businessmen and businesswomen, previously repressed, who will need special encouragement and assistance and some protection from would?be immigrant entrepreneurs. Second, it is recognized that some foreign investors for major projects may need assurances concerning the remittability of funds, security of title, and access to international arbitration. the article opposes across?the?board incentives but envisages a class of ‘Special Status Investments’ which could be given exceptional assurances but which could be asked to accept exceptional obligations and responsibilities as well. Resumé Le présent article considère les politiques qu'un gouvernement démocratique en Afrique du Sud devrait adopter en ce qui concerne les investissements dans ce pays de provenance à la fois étrangère et extérieure; et s'interroge sur la nature des instruments qu'il serait nécessaire d'employer pour leur donner vigueur. Les auteurs constatent qu'au cours des 30 dernières années certains changements se sont produits en ce qui concerne les investissements de provenance étrangère et extérieure, tout en constatant que certains facteurs très particuliers caractérisent l'économie politique sud?africaine. L'approche proposée traiterait les investisseurs étrangers sur une base essentiellement paritaire (en termes des droits et des obligations) relativement aux investisseurs internes, sauf dans deux domaines. Tout d'abord il y aurait lieu de reconnaître qu'il existe d'aspirants hommes et femmes d'affaires noirs, jusqu'ici victimes de la répression, qui mériteront un encouragement et une assistance spéciaux, ainsi qu'une protection contre les éventuels entrepreneurs immigrés. En deuxième lieu, il est admis que certains investisseurs étrangers auront besoin, avant de participer dans des projets majeurs, de recevoir certaines garanties concernant la disponibilité des fonds, la permanence de leur accueil, et l'accès à l'arbitrage international. Les auteurs s'opposent à ce que des primes d'encouragement soient offertes à tous sans distinction des cas mais ils envisagent, par contre, une catégorie spéciale d'Investissements à Statut spécial auxquels des garanties exceptionnelles pourraient être accordées moyennant, réciproquement, l'acceptation de certaines obligations et responsabilités exceptionnelles. Resumen Este artículo considera las pautas que un gobierno democrático en Sudáfrica debería adoptar para la inversión extranjera proveniente del exterior, y los elementos que deberían ponerse en práctica para hacerlas efectivas. Se señala el cambio positivo en la actitud hacia las inversiones extranjeras que han ocurrido en los últimos 30 años, y se mencionan una serie de rasgos especiales que caracterizan a la política económica de Sudáfrica. El enfoque que se propone esencialmente consideraría a los inversores extranjeros en los mismos términos (derechos y obligaciones) que a los inversores locales, con dos notables excepciones. En primer lugar, se reconoce la existencia de ambiciosos hombres y mujeres de negocios de raza negra, anteriormente reprimidos en sus actividades, que ahora necesitarán apoyo y estímulo especiales y también protección frente a la posibles aparición de empresarios inmigrantes. En segundo lugar, se reconoce que algunos inversores extranjeros en proyectos de gran envergadura pueden necesitar seguridades en asuntos como remisión de fondos, fiabilidad de títulos y acceso al arbitraje internacional. El artículo rechaza la idea de incentivos globales, pero prevé un tipo de ‘Inversiones de Status Especial’ que si bien recibiría seguridades especiales, debería a su vez aceptar obligaciones y responsabilidades de excepción.en
dc.format.extent8en
dc.publisherInstitute of Development Studiesen
dc.relation.ispartofseriesIDS Bulletin Vol. 25 Nos. 1en
dc.rights.urihttp://www.ids.ac.uk/files/dmfile/IDSOpenDocsStandardTermsOfUse.pdfen
dc.titlePOLICIES TOWARDS INWARD FOREIGN INVESTMENTen
dc.typeArticleen
dc.rights.holder© 1994 Institue of Development Studiesen
dc.identifier.doi10.1111/j.1759-5436.1994.mp25001008.xen


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