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dc.contributor.authorMaxwell, Simonen
dc.contributor.authorLirenso, Alemayehuen
dc.date.accessioned2016-02-25T11:06:48Z
dc.date.available2016-02-25T11:06:48Z
dc.date.issued01/10/1994en
dc.identifier.citationMaxwell, S. and Lirenso, A. (1994) Linking Relief and Development: An Ethiopian Case Study. IDS Bulletin 25(4): 65-76en
dc.identifier.issn1759-5436en
dc.identifier.urihttps://opendocs.ids.ac.uk/opendocs/handle/20.500.12413/9318
dc.description.abstractSummary The idea of linking relief and development (LRD) is immediately attractive in Ethiopia, where 27 million people, 55 per cent of the population, are food insecure, and where the cost of relief has exceeded the equivalent of one third of government revenue in drought years. LRD is indeed central to government policy, notably in the National Policy on Disaster Prevention and Management. Though practice lags behind policy, progress is being made, for example with an employment?based safety net. However, LRD involves costs and tradeoffs, there are questions about what is feasible in a poor country with weak state capacity, and the future role of NGOs is in doubt. The article discusses these and concludes with operational and research agendas. Operationally, the greatest risk is trying to do too much too quickly: the first priority is to assure an effective famine safety net and then build an LRD strategy from the bottom up, with NGOs setting out explicitly to strengthen and support government capacity. The research agenda focuses on the costs and trade?offs inherent in different interventions, and about the pace and sequencing of LRD as a whole. Resumé Allier l'aide d'urgence au développement: une étude de cas en Ethopie Le concept LRD d'allier l'aide d'urgence au développement est, au premier abord, des plus attrayants pour l'Ethiopie où 27 millions de gens, soit 55% de la population, se trouvent en situation d'insécurité alimentaire et où le coût de l'aide d'urgence aurait dépassé d'un tiers les revenus gouvernementaux pendant les années de sécheresse. Le LRD est en fait un concept tout à fait central dans la politique gouvernementale, et notamment dans la Politique nationale sur la prévention et la gestion des catastrophes. Bien que la politique devance la pratique de bien loin, certains progrès se constatent néanmoins, grâce par exemple à la mise en place d'un “filet de secours” basé sur l'emploi. Toutefois, le LRD entraîne certains coûts et certains compromis, et plusieurs questions se posent sur ce qu'il est possible de faire dans un pays pauvre où les capacités de l'état sont faibles et où l'on s'interroge sur le rôle des ONG à l'avenir. L'article discute ces questions, et présente des programmes opérationnels et de recherche. En termes opérationnels, le risque majeur serait de trop faire, trop vite: la priorité absolue reste celle d'implanter un filet de sécurité efficace contre la famine et ceci fait, de mettre en place une stratégie LRD qui aille du bas vers le haut, et dans laquelle les ONG puissent déterminer explicitement de renforcer et de soutenir les capacités gouvernementales. Le calendrier de recherche se concentre d'une part sur les coûts et compromis que recèlent intrinsèquement les diverses possibilités d'intervention et, d'autre part, sur les cadences et séquences du LRD en général. Resumen La relación asistencia?desarrollo: un caso de Etiopía La idea de integrar asistencia y desarrollo (LRD) resulta muy atractiva en Etiopía, donde 27 millones de personas (55% de la población) sufren inseguridad alimentaria, y donde el costo de la asistencia ha excedido el equivalente de un tercio de la recaudación fiscal en años de sequía. LRD es central a la política del Gobierno, principalmente en las Directivas Nacionales para la Prevención y Manejo de Catástrofes. Aunque la práctica va a la zaga de las directivas, se va alcanzando algún progreso, por ejemplo con una red de protección laboral. Sin embargo, LRD supone costos; también debe decidirse qué es posible en un país pobre con capacidad estatal débil; y por último, se pone en duda el role futuro de las organizaciones no gubernamentales (NGO). El artículo examina estos factores y culmina con una agenda de investigaciones y operaciones. En este último aspecto, el mayor riesgo es tratar de hacer demasiado en poco tiempo; la prioridad número uno debe ser asegurar una red efectiva de protección contra el hambre y luego preparar una estrategia de LDR desde las bases, con las NGO explícitamente dedicadas a reforzar y apoyar la capacidad gubernamental. La agenda de investigación se centra en costos inherentes a diferentes operaciones, así como en las secuencia y ritmo de LRD en general.en
dc.format.extent12en
dc.publisherInstitute of Development Studiesen
dc.relation.ispartofseriesIDS Bulletin Vol. 25 Nos. 4en
dc.rights.urihttp://www.ids.ac.uk/files/dmfile/IDSOpenDocsStandardTermsOfUse.pdfen
dc.titleLinking Relief and Development: An Ethiopian Case Studyen
dc.typeArticleen
dc.rights.holder© 1994 Institue of Development Studiesen
dc.identifier.doi10.1111/j.1759-5436.1994.mp25004009.xen


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