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De l’intérêt d’embaucher plus de femmes dans les autorités fiscales africaines : témoignage de l’administration fiscale ougandaise

dc.contributor.authorMwondha, Michael
dc.contributor.authorKaidu Barugahara, Tina
dc.contributor.authorNakku Mubiru, Mwajumah
dc.contributor.authorWasagali Kanaabi, Sarah
dc.contributor.authorIsingoma Nalukwago, Milly
dc.coverage.spatialUgandaen
dc.date.accessioned2019-01-22T14:32:24Z
dc.date.available2019-01-22T14:32:24Z
dc.date.issued2019-01
dc.identifier.citationMwondha, M; Barugahara, T K; Mubiru, M N; Kanaabi, S W; Nalukwago, M (2018) Why African Tax Authorities Should Employ More Women: Evidence from the Uganda Revenue Authority, ICTD Working paper 85, Brighton: IDSen
dc.identifier.citationMwondha, M; Barugahara, T K; Mubiru, M N; Kanaabi, S W; Nalukwago, M (2018) De l’intérêt d’embaucher plus de femmes dans les autorités fiscales africaines : témoignage de l’administration fiscale ougandaise, ICTD Working paper 85, Brighton: IDSfr
dc.identifier.urihttps://opendocs.ids.ac.uk/opendocs/handle/20.500.12413/14288
dc.description.abstractTax collection has historically – in Africa and elsewhere – been collected almost entirely by men, partly reflecting patterns of authority and privilege in society, and partly owing to the traditionally coercive and confrontational approaches used. The situation is changing, with women entering the profession in increasing numbers, in part because of changes in the ways in which taxes are collected.en
dc.description.abstractLa perception des impôts a historiquement – en Afrique et ailleurs – été recueillie presque entièrement par des hommes, ce qui s’explique en partie par un reflet des schémas sociétaux de l’autorité et des privilèges, et en partie par l’utilisation d’approches traditionnellement coercitives et conflictuelles. La situation est en train de changer, avec l’entrée de plus en plus de femmes dans la profession, en partie à cause des changements dans la façon dont les taxes sont collectées. La perception des taxes est à présent moins susceptible d’impliquer des interactions en face à face et plus susceptibles d’utiliser des approches indirectes telles que l’auto-évaluation et les plates-formes en ligne qui minimisent les interactions physiques. Les changements dans le caractère et les compétences requises dans les postes de l’administration fiscale ainsi que les changements plus larges sur le marché du travail et dans les relations entre les sexes, contribuent globalement à l’augmentation de la présence des employées féminines dans les administrations fiscales au niveau mondial. Dans les administrations fiscales des pays de l’OCDE, les femmes représentent environ 60% des employés. Cependant, la situation en Afrique est en moyenne très différente. Le passage à une fiscalité indirecte et non coercitive est loin d’être acquis, et les hommes sont encore largement majoritaires au sein des autorités fiscales nationales, bien qu’il y ait de grosses variations selon les pays.fr
dc.description.sponsorshipDFIDen
dc.description.sponsorshipBill and Melinda Gates Foundationen
dc.language.isoenen
dc.publisherIDSen
dc.relation.ispartofseriesICTD Research in Brief;30
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/en
dc.subjectEconomic Developmenten
dc.subjectFinanceen
dc.subjectGenderen
dc.subjectWork and Labouren
dc.titleWhy African Tax Authorities Should Employ More Women: Evidence from the Uganda Revenue Authority - Research in Briefen
dc.titleDe l’intérêt d’embaucher plus de femmes dans les autorités fiscales africaines : témoignage de l’administration fiscale ougandaise
dc.typeSeries paper (non-IDS)en
dc.rights.holderInstitute of Development Studiesen
dc.identifier.teamGovernanceen
rioxxterms.versionNAen


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