Severing the Links between Education and Careers: the Sobering Experience of China's Urban Schools, 1968?76

SUMMARY China's attempt to free the school from having to sort and select people for the ‘better’ jobs in society, and its attempt to base that selection on other than academic criteria, did not have the results hoped for. Within the city schools, the students lost their motivation to learn and turned to rowdyism. In the operation of selecting people for further study and coveted jobs, there was much suspicion of nepotism and favouritism. However, in vocational schools prior to the Cultural Revolution, learning was linked directly with job placement and cut off from eligibility for university education. Even so, competition for admission was strong and the learning outcomes good. RESUMEN La interrupción de los vínculos entre la educación y las carreras: la aleccionadora experiencia de las escuelas urbanas de China de 1968 a 1976 La tentativa de China de librar a la escuelas de tener que clasificar y seleccionar a las personas para los ‘mejores’ puestos en la sociedad, y su tentativa de basar dicha selección en otros criterios aparte de los académicos, no han tenido los resultados que se esperaban. En las escuelas urbanas, los estudiantes perdieron sus motivos para aprender y se orientaron hacia la rebeldía. En la aplicación del sistema de selección de individuos para ampliación de estudos y ocupar los puestos más codiciados provocaron grandes sospechas de nepotismo y favoritismo. Sin embargo, en las escuelas de formación profesional antes de la Revolución Cultural, la enseñanza estaba directamente relacionada con el lugar de empleo y separada de la elegibilidad para la educación universitaria. Aún así, las oposiciones para conseguir admisión eran fuertes y los resultados de la enseñanza satisfactorios. RESUME Couper les liens entre l'enseignement et les carrières: l'expérience modératrice des écoles urbaines en Chine, 1968–76 Les tentatives de la Chine pour libérer l'école du processus de sélection des élèves en vue des ‘meilleurs’ emplois dans la société et ses tentatives pour baser cette sélection sur des critères autres qu'académiques n'ont pas eu les résultats espérés. Dans les écoles urbaines, les élèves perdirent toute motivation à apprendre et se tournèrent vers le chahut. Dans l'opération consistant à sélectionner les étudiants pour l'enseignement supérieur et les emplois de choix, l'on pouvait craindre le népotisme et le favoritisme. Pourtant, dans les écoles professionnelles avant la Révolution culturelle, l'enseignement était directement lié à l'obtention d'un emploi et totalement coupé de la préparation aux études universitaires. Mais même ainsi, la course en vue de l'admission était serrée et les résultats des études bons.